Corona virus : L’émergence d’un nouveau monde

30 mars 2020

Les animaux, la planète et le covid-19

Cela fait déjà deux semaines que nous sommes en confinement en France et beaucoup plus longtemps encore pour d’autres pays, et, sans vouloir être alarmiste, ceci n’est que le début…

Le début d’un effondrement annoncé, qui précédera l’émergence d’une nouvelle ère.

Rien n’arrive par hasard et après de nombreux avertissements, notre Terre Mère Gaïa reprend les rênes.

Depuis l’apparition de ce virus qui se propage rapidement et sur tout le globe, les humains se retrouvent confinés chez eux, les industries ont soit levé le pied, soit stoppé complètement leur activité.

Plus d’activités humaines, plus beaucoup de circulation ni de transports non plus.

Même si la situation semble grave à l’échelle humaine, si nous prenons un peu de hauteur et de recul nous nous apercevons vite qu’elle n’a pas que des effets néfastes.

La Terre après ces nombreux avertissements auxquels nous sommes restés sourds, s’est mise sur pause.

Une pause plus que nécessaire aujourd’hui.

La nature reprend ses droits

Le silence et le calme ont envahi les rues. On entend de nouveau les oiseaux chanter dans les villes (pour ma part, j’ai la chance de vivre à la campagne et de les entendre déjà tous les jours).

Les animaux ont enfin trouvé un peu de répit : chasse interdite, certaines corridas aussi, en Chine suite à cette pandémie, le commerce d’animaux sauvages vient d’être définitivement interdit.

Quelques victoires enfin sur des batailles que les militants de la protection animale menaient depuis tant d’années sans aucune avancée aussi catégorique… et là, comme par magie (oui), tout s’arrête.

Magique intelligence de l’Univers.

Les bateaux de pêche partent moins nombreux en mer et laissent enfin souffler un peu les océans, et on dit même que des dauphins ont été vus dans un port en Sardaigne. Venise a retrouvé ses eaux limpides d’autrefois en seulement 10 jours.

La pollution atmosphérique a disparu en Chine et en Italie pays les plus touchés, au bout de plusieurs semaines.

Le ciel est de nouveau bleu, et l’air respirable.

Oui, paradoxalement, il a fallu que certains humains étouffent pour que les animaux et la planète respirent enfin.

Le temps s’est arrêté.

Les humains, confinés chez eux, ne vivent plus au rythme effréné imposé par un style de vie « moderne »: « métro, boulot, dodo ». Ils ont enfin plus de temps à partager avec leur famille, leurs enfants, pour prendre soin d’eux-mêmes et des autres, et paradoxalement, de prendre plus souvent des nouvelles de leurs proches alors qu’ils ne les voient plus.

Profiter du temps présent.

Etre en contemplation de ce que l’on ne voyait plusmême des choses qui pourraient sembler les plus insignifiantes.

Etre en introspection. A défaut d’aller à l’extérieur, aller à l’intérieur… de soi.

Elever sa conscience.

Retrouver le calme intérieur.

Qu’est-ce qui anime ma vie ? Mon essence ? Quelles est ma mission de vie sur cette Terre ?

Comment prendre soin de la planète sur laquelle je vis ? Quel est le sens de ce qui se passe à l’échelle planétaire ? Quel est le message de Gaïa ?

Les distances s’effacent, tout le monde sur la planète vit au même rythme à présent.

Nous ne sommes plus qu’un, et nous sommes à présent tous connectés, bizarrement, à l’heure où les frontières se sont fermées.

Nous vivons quelque chose de complètement inédit et si nous sommes là précisément incarnés sur Terre à cette période charnière, c’est que nous avons un rôle à jouer dans ce changement et une leçon à tirer de cette épreuve.

Car derrière chaque épreuve, se cache une raison.

La raison de ce virus est l’urgence de mettre en pause l’humanité, pour nous donner le temps de réfléchir.

Réfléchir à notre rôle sur cette Terre, à l’impact de notre de vie sur la planète et ses autres habitants, à replacer l’humain à sa juste place aussi et réaliser que finalement la Terre ne nous appartient pas et que nous ne sommes pas ses seuls invités.

Nous devons en prendre le plus grand soin… et hélas ce n’est pas ce que nous avons fait ces dernières décennies ou même depuis notre apparition, qui correspond à il y a à peine quelques minutes à l’échelle de la vie de la Terre et de l’Univers.

N’oublions pas qui nous sommes et d’où nous venons.

N’oublions pas que nous sommes tous Terriens, nous les humains, mais aussi les animaux, la nature et tout ce qui nous entoure.

Il est grand temps aujourd’hui de réfléchir à tout le mal causé à la planète, qui aujourd’hui lasse et épuisée, nous pousse un cri d’alarme et nous dit STOP.

Oui c’est une catastrophe humanitaire, mais c’est aussi la Terre qui nous envoie un message fort, et nous annonce qu’il est temps de tout changer : notre façon de vivre, de consommer, de produire, de considérer et traiter les animaux et le vivant, de respecter notre Terre, notre maison.

J’ai eu connaissance de ces avertissements il y a longtemps déjà à travers diverses communications depuis l’au-delà, avec des animaux très évolués (que je vous partagerai prochainement dans d’autres articles).

Ils m’ont tous parlé de l’urgence à sauver la planète et de leur incompréhension face à l’indifférence des humains, trop occupés à courir après le temps sans jamais s’arrêter.

Aujourd’hui Gaïa nous donne ce temps de la réflexion, à tous, en même temps…. Alors utilisons-le à bon escient, afin de nous poser les bonnes questions.

Rien ne sera plus pareil après cette épreuve.

Il est temps de laisser place à un nouveau monde et de participer à son émergence.

Animalement vôtre,

Khadija

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